Les éoliennes
Les éoliennes
Ecoutez le vent qui soupire
Dans les villages endormis
Il règne encor sur un empire
En poussant les nuages gris
Il n’avait plus grand-chose à faire
Sont disparus tous les moulins
Et de son souffle légendaire
L’homme n’en avait plus besoin
Mais sont venues les éoliennes
Sur les collines, dans les champs
Avec leurs pales aériennes
Et leurs énormes mats tout blancs
Ecoutez le vent qui respire
En agitant sans un répit
Les hélices d’un autogyre
Qui ne décolle pas d’ici
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