La petite demoiselle
La petite demoiselle
En coup de vent, tel un oiseau
Qui vient se poser sur la branche
Frêle et souple comme un roseau
Je la voyais chaque dimanche
Toujours vêtue de beaux tailleurs
Accentuant sa taille fine
De jolis yeux un peu rieurs
Elle s’appelait Joséphine
Elle arrivait sans prévenir
Et m’embrassait sur une joue
C’est un merveilleux souvenir
J’étais amoureux, je l’avoue
Elle m’emmenait à la messe
Mamy restait à la maison
Mais je respectais la promesse
Faite à ma mère, une raison
J’étais déjà aussi grand qu’elle
Et j’étais fier d’être à son bras
Oh! ma petite demoiselle
Ton sourire ne s’oublie pas
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